[BD] Mission impossible quadrilogie

Sauf que les prod l'ont voulu lui, pour son propre style. Les MI sont bien car chaque réal apporte sa vision.

Ça n'en fait pas des films d'auteurs pour autant
Des films intéressant, car différent et pourtant avec toujours une même histoire au finale.
Prend les Bonds, ça fait 50 ans qu'on nous raconte toujours la même chose, des méchants qui veulent être maitre du monde.
Seul la façon dont il se font avoir et leur manière de "possédé" la terre diffère, le reste c'est du kif kif

Oui mais dans les Bond, on ne reconnaît pas les réal derrières. A la limite Mendes sur Skyfall et encore, c'est plus son directeur photo qu'on reconnaît
Justement, à la différence de Bond, chaque MI a un style unique.

Considère tu les Alien comme des films d'auteurs ? Scott, Cameron, Fincher et Jeunet en ont fait des films personnels, avec des thématiques qui leur sont chères, un style unique. Pourtant ce sont des blockbusters.

Je ne pense pas que l'on puisse considéré ses films comme des films d'auteurs.
Quel question soulève t'il

Par contre Solaris est un film d'auteur, la merde de 2001 en est un. AI aussi, la SF peut dans certain cas être considéré comme des films d'auteurs, ont appel ça des films d'anticipation dans ce cas, comme Soleil vert aussi.

Les Alien... alors que Ridley Scott a fait de la SF d'auteur, Blade Runner en est un pour moi, et pose clairement la question sur le statut de l'intelligence artificiel, qui si ça continu comme cela, arrivera beaucoup plus vite qu'on le pense

Si ça continu tu va me dire que Transformers c'est des films d'auteurs

Je pense que n'importe quel film peut susciter des questions. Cela dépend surtout de ta manière de le voir. Les Aliens soulèvent plus que de questions que ce que tu as l'air de penser (thématique sur la place de la femme, sur la peur également). Pourquoi seuls les films d'anticipation seraient des films d'auteurs ? Bay est un auteur pour moi.

nico a écrit:Bay est un auteur pour moi.

C'est bon les mecs, on l'a perdu

nico a écrit:Je pense que n'importe quel film peut susciter des questions. Cela dépend surtout de ta manière de le voir. Les Aliens soulèvent plus que de questions que ce que tu as l'air de penser (thématique sur la place de la femme, sur la peur également). Pourquoi seuls les films d'anticipation seraient des films d'auteurs ? Bay est un auteur pour moi.

Non Nico, tu t'égares par excès d'enthousiasme, et d'ailleurs tu as convenu dans un post précédent que tu te posais la question. Stéph a raison : un film d'auteur ne peut pas être un blockbuster, ce dernier est nécessairement trop cadré par les producteurs qui exigent un retour sur recettes conséquent. Il n'empêche que tous les yes men ne se valent pas : aucun des Alien n'est un film d'auteur, mais les metteurs en scène choisis ont comme tu l'as dit un style propre, une manière de filmer et de raconter ainsi que des thématiques personnels qu'ils parviennent plus ou moins bien à faire passer. Mais ils gardent les mains liées (impossible pour eux d'avoir le final cut).
Cela dit, pour certains réalisateurs talentueux et exigeants, la limite est floue. Prends Coppola par exemple : Twixt et Tetro sont incontestablement des films d'auteur, mais quid du Parrain ? Dracula ? je pense aussi qu'il est difficile de parler de film d'auteur quand on part sur une adaptation, sauf si le réalisateur est lui-même scénariste. Péjorativement, le "cinéma d'auteur" est synonyme de cinéma chiant, destiné à un public élitiste et loin de toute volonté mercantile. Mais c'est plus compliqué que cela. Bay n'est absolument pas un auteur, mais un bon faiseur : il sait se plier aux exigences des studios pour en mettre plein la vue. Burton a déjà davantage un comportement d'artiste, même s'il est plus "montreur" que "narrateur". Ses Batman ne sont pas des films d'auteurs (trop de contraintes) mais il a su imposer sa "patte". Je le répète : un film d'auteur est un film dont le réalisateur est à la fois compositeur et chef d'orchestre, dont il peut gérer le montage final. Si comme Spielberg il peut avoir un gros budget, c'est tant mieux pour lui.

Je suis vraiment pas du même avis. Je crois de toute manière qu'on n'a pas la même définition. Vous parlez beaucoup de "budget", "producteurs", "liberté", sauf que pour moi, ça n'a aucune importance du moment que le réalisateur suit sa ligne de conduite.
Je vois pas où je dit le contraire, surtout sur les Alien: j'ai posé la question à Steph, tout en étant persuadé qu'il s'agit de films d'auteur.

nico a écrit:Je suis vraiment pas du même avis. Je crois de toute manière qu'on n'a pas la même définition. Vous parlez beaucoup de "budget", "producteurs", "liberté", sauf que pour moi, ça n'a aucune importance du moment que le réalisateur suit sa ligne de conduite.
Je vois pas où je dit le contraire, surtout sur les Alien: j'ai posé la question à Steph, tout en étant persuadé qu'il s'agit de films d'auteur.

Non, c'est là que tu te trompes. C'est la tendance générale (donc un peu péjorative) qui associe "film d'auteur" à "petit budget". Mais les Alien ne peuvent pas être des films d'auteur puisque ces derniers n'ont pas voix au chapitre final. C'est là qu'on voit la différence entre de bons réalisateurs et de simples faiseurs, et c'est tout à leur honneur de parvenir à insuffler un peu de leur vision dans un cahier des charges strict. En revanche, et pour reprendre ton clin d'oeil, Hellboy est à la fois écrit et réalisé par Del Toro et son investissement tend à en faire un film d'auteur, même s'il y a des contraintes budgétaires importantes. Je reprends l'exemple de HP : impossible de faire des films d'auteur pour une franchise pareille, les impératifs de production étaient énormes et Rowling avait la main lourde. Pareil pour les Star Trek ou pour n'importe quelle franchise, mais ils permettent à des réalisateurs prometteurs de se faire la main, de gagner la confiance des studios pour décrocher un budget pour un film plus personnel. C'est ainsi que ça fonctionne.
Cette distinction ne doit absolument pas t'empêcher de déceler des signes distinctifs, des tics de narration chez les metteurs en scène, même sur une superproduction. Hitchcock ne faisait que des films d'auteur avant que les studios américains lui mettent la main dessus, et il a pu imposer nombre de ses demandes malgré la dictature des producteurs (par exemple, on lui a souvent imposé des acteurs qu'il ne voulait pas, comme Gregory Peck). C'est son exemple, ainsi que celui de Howard Hawks qui ont conduit les critiques français à parler de films d'auteur.

Je ne suis pas sûr que le film d'auteur ait une définition définitive pour autant. Si on s'en tient à la dénomination figée, le film d'auteur n'existe plus aujourd'hui. Il reste néanmoins que Batman Returns ou les films de George Lucas sont de sidérants exemples autorisants, l'un ayant pu s'insérer en douce dans un format en prenant tout le monde à revers, l'autre en mettant tout un empire industriel au service d'une vision.

Je crois surtout qu'on oublie une chose importante voir capitale, la notion de film d'auteur est une particularité française, au mieux européenne, elle n'existe quasiment pas aux USA qui parle d'Industrie cinématographique, ils ont au mieux inventé le terme : cinéma indépendant... qui reste discutable.... ce qui me chagrine dans le cinéma d' aujourd'hui, ce n'est pas le statut du cinoche américain, mais plutot celui du cinéma français pour qui cinéma d'auteur est trop souvent à de bavardes études de tourné en intérieur..... on a oublié qu'on a été un modèle du cinéma de genre jusqu'aux années 60.... et aujourd'hui..... il n'en reste plus rien, nous qui nous targuons de notre histoire, de notre "héritage"culturel, quid.... sur 100 films français qui sortent, une fois qu'on a mis de côté les comédies, les drames, qu' est ce qu'il reste, mis à part quelques documentaires et les sempiternels films d'auteurs des circuits indépendant, quand est ce qu'un film français vous a scotché ????

C'est ce que je disais plus haut, il s'agit d'une notion créée en France, dont les pontes intellectuels ont toujours tendance à classifier (c'est pareil en musique, la notion de "musique contemporaine" n'est pas la même en France et dans le reste du monde). Malgré ses défauts, elle a l'avantage de mettre en avant le pouvoir créatif du réalisateur, qui avait été annihilé par la puissance des grands studios d'Hollywood.

Et bien souvent à raison ! Il ne faut pas se leurrer, tout ça c'est beaucoup d'argent, il y a quand même sacrément intérêt à ce que ce soit encadré et rentable.

TWIN a écrit:Et bien souvent à raison ! Il ne faut pas se leurrer, tout ça c'est beaucoup d'argent, il y a quand même sacrément intérêt à ce que ce soit encadré et rentable.

On se rend surtout compte qu'aucun des deux modèles n'est parfaits, j'aimerais juste que le cinoche français ait plus de "cojones", merde même unn pays du tiers europe comme l'espagne nous donne des leçon de beau cinéma de genre

C'est vrai. Bon après, on a Jacques Audiard, Olivier Marchal...

MI-3

Après un 2 tourner blockbuster a donf on retrouve un 3éme épisode qui revient clairement aux fondamentaux de la série
Et pour notre plus grand plaisir
JJ Abrams réalise un excellent épisode bon y'a encore certain trucs mega gros sa reste un film spectaculaire avant tout, mais dans l'ensemble son film est excellent

Techniquement parlant

Image :

Superbe
Pas de défaut de constater dedans mon chez moi quelques plan un chouia granuleux, mais dans l'ensemble l'image est vraiment parfaite
On notera les amélioration habituel face au DVD, couleurs, contrastes, profondeur de champ, qui font passé le DVD qui était déjà très bon, a une image délavé.

Son :
Bon Dolby Digital 640k.
Je pense que la majorité des éditeurs se foutent royalement de mettre une piste HD pour la VF.
Comparé a celle du DVD, qui était excellente. Le bluray enfonce le clou. La piste est plus péchu et dispose de basses plus profonde. On en revient encore au 1/2 ton d'écart lié au télécinéma du DVD.
C'est surprenant au début, car la voix du doubleur de Philip Seymour Hauffman sonne clairement plus basse

En résumé :
Comment relancé une franchise, enfin comment la faire revenir aux sources. Suffit de la confié a JJ Abrams, on le vois avec son Star Trek que j'adore
L'image et au top et fait honneur au support.
Le son, bien que pas HD, assure le spectacle et la spatialisation est sans faille

Bientôt le 4 mais comme j'ai jamais eu le DVD pourrais pas comparé

Bein c'est facile, le 4 a une image dégueue. Pour un film aussi attendu et qui a aussi bien marché c'est quand même pas top.

J'ai toujours pas vu le 4. Par contre, le 3 était clairement à sa sortie le meilleur de la franchise.

Le 4 est un vrai chef d'oeuvre !

nico a écrit:Le 4 est un vrai chef d'oeuvre !

Suis assez d'accord.

nico a écrit:Bein c'est facile, le 4 a une image dégueue. Pour un film aussi attendu et qui a aussi bien marché c'est quand même pas top.

Des fois je me dit le Nico il doit pas avoir tout qui fonctionne normalement CR du G

Brad Bird est un génie de l'animation.
Il n'a que réalisé mon Pixar préféré, les indestructibles

Donc que donne un réalisateur de film d'animation quand il passe derrière une caméra avec des vrais acteurs.
Que du bon
JJ Abrams avait sévèrement recentré MI sur l'action d'équipe. Ce qui faisait cruellement défaut dans le 2, plus axés blockbuster, et très centré sur Cruise. Alors que depuis le 3, l'esprit d'équipe et bien revenu
Cet épisode est vraiment une tuerie

Techniquement parlant

Image :

Elle est sublime
D'une précision chirurgicale les plans iMax sont d'une profondeur hallucinante
Les panoramiques sont superbe et mettent en valeur les différentes villes que nous parcourons au fur et a mesure de l'intrigue.
Les contrastes, les couleurs, la définition... etc etc zéro défaut

Son :

Bon passons sur le choix du codec... Dolby Digital pour la VF.
Que donne cette VF.
Généralement les Pixar sont magnifiquement spatialisé. Les indestructibles et une réfs technique d'un point de vu son. Donc on s'attend a ce que le réalisateur face de même sur un film live.
Mission accomplie si on peut dire
C'est une bonne grosse piste Dolby Digital boosté aux hormones de croissance
Des basses bien présente une belle piste démo

En résumé

Le film est excellent, certainement le meilleur de la série.
L'équipe est parfaitement bien équilibré, et même le "comique" est professionnel dans son domaine
L'image est superbe avec des séquences iMax d'une profondeur hallucinantes.
Le son assure le spectacle et fait plaisir au home cinéma mais j'avoue que j'aurais préféré une piste HD.

Un Bluray a possédé

Désolé mais je maintiens, l'image est dégueue